Invitrogen™ PDGF-AA Human ELISA Kit

Description

The Human Platelet Derived Growth Factor-AA (Hu PDGFAA) ELISA quantitates Hu PDGFAA in human serum, plasma, or cell culture medium. The assay will exclusively recognize both natural and recombinant Hu PDGFAA. Principle of the method The Human PDGFAA solid-phase sandwich ELISA (enzyme-linked immunosorbent assay) is designed to measure the amount of the target bound between a matched antibody pair. A target-specific antibody has been pre-coated in the wells of the supplied microplate. Samples, standards, or controls are then added into these wells and bind to the immobilized (capture) antibody. The sandwich is formed by the addition of the second (detector) antibody, a substrate solution is added that reacts with the enzyme-antibody-target complex to produce measurable signal. The intensity of this signal is directly proportional to the concentration of target present in the original specimen. Rigorous validation Each manufactured lot of this ELISA kit is quality tested for criteria such as sensitivity, specificity, precision, and lot-to-lot consistency. See manual for more information on validation.

On a découvert que le facteur de croissance dérivé des plaquettes (PDGF) était un facteur mitogène majeur présent dans le sérum mais absent dans le plasma. Il est sécrété par les granules alpha des plaquettes, activées lors de la coagulation du sang pour former le sérum. Des études ultérieures ont démontré que le PDGF ne correspondait pas à une mais à trois molécules, chacune étant une combinaison dimérique de deux chaînes peptidiques distinctes mais structurellement apparentées appelées A et B. Les isoformes dimériques PDGF-AA, AB et BB sont exprimées de façon différentielle dans divers types de cellules et leurs effets sont médiés par deux récepteurs distincts, appelés alpha et bêta. Il existe des différences dans la liaison de ces isoformes à chaque récepteur. En général, les isoformes PDGF sont de puissants mitogènes pour les cellules des tissus conjonctifs, notamment les fibroblastes dermiques, les cellules gliales, les cellules musculaires lisses artérielles et certaines cellules épithéliales et endothéliales. En plus de son activité comme mitogène, le PDGF est chimiotactique pour les fibroblastes, les cellules musculaires lisses, les neutrophiles et les cellules mononucléaires. D’autres activités rapportées pour le PDGF incluent la stimulation de la libération de granules par les neutrophiles et les monocytes, la facilitation de la synthèse des stéroïdes par les cellules de Leydig, la stimulation de la phagocytose des neutrophiles, l’inhibition de l’activité des cellules tueuses naturelles (NK), la stimulation de la synthèse du collagène, la modulation de l’expression et de la sécrétion de la thrombospondine, la stimulation de l’activité et de la sécrétion de la collagénase, l’induction de la contraction des bandelettes aortiques de rats in vitro et l’induction transitoire de la sécrétion d’IL-2 des cellules T accompagnée d’une régulation à la baisse de la production d’IL-4 et d’IFN-gamma, des effets temporaires qui peuvent permettre l’expansion clonale des lymphocytes auxiliaires B et T activés par l’antigène avant la différenciation. Le PDGF semble également omniprésent dans les neurones de tout le SNC, où l’on suppose qu’il joue un rôle important dans la survie et la régénération des neurones, ainsi que dans la médiation de la prolifération et de la différenciation des cellules gliales.